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Maurizio Garcia - Southside hispanic mobster

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Maurizio Garcia

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Dernière édition par Maurizio Garcia le Sam 22 Déc - 17:41, édité 6 fois

Maurizio Garcia

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L'ENFANCE

Aujourd'hui le temps s'est levé, les soucis dans le quartier se sont atténués, il y a toujours cette rivalité entre north-side et south-side mais bon.. A force ça devient une habitude, j'ai toujours mes trucs du matin, faire un tour du quartier, savoir les nouvelles rumeurs. A vrai dire sa devient même une sorte d'hobby, un petit rituel. Avant, ma vie ressemblait pas à celle-ci, j'étais un jeune comme tout les autres attirés par l'argent, le monde de la rue. Comme tous, j'ai délaissé les bancs d'écoles- Quel connerie ! J'aurais du suivre mon rêve devenir un "habitant modele" mais le destin en à pris une autre tournure. Cette vie actuel, me plait. Même si mon espérance de vie se résume à environ vingt cinq années..- j'ai encore six "belles" années devant moi ! Mais pour l'instant j'ai d'autres problèmes..

Le petit Maurizio Garcia est né le 7 août 1984 en Salvador, fils de parents immigrés ils se retrouvent comme trois quarts des hispaniques de l'époque propulsé dans la vie américaine, le fameux american dream- le rêve américain. Elevé seul par sa mère, il quitte rapidement le domicile familiale pour s'intérréssé au monde de la rue, il voulait devenir comme eux, respecté par tous, impressionné par les plus jeunes. Il décide de travailler pour eux, pour ce qu'il appelle ici les "Surenos" il ne sait pas pourquoi, mais pour lui, c'est cool, et c'est ce qui importe.

Deux ans se sont passés, Maurizio à grandis il s'est fait un nom dans les environs "Spook" pourquoi ce nom ? Aucune raison apparente, surement encore une invention des "grands".. Depuis le temps les quartier, les personnes ont changés, les gang hispaniques du sud se sont dispersés, de El Corona à Playa Seville. Le petit à suivis sa voie, quittant sa mère, aggripant les rues près du stade. De nouvelle têtes, un nouveau repère à mettre en place, de nouvelle stratégie, un nouveau business.. Tout été remis à zéro. Dans ce nouveau quartier, héberger par un amis de sa mère, Spook devient rapidement la proie facile pour rentrer dans un gang, un esprit saint, avec une jeune mentalité, un destin changé à jamais.

Un soir du 18 octobre 1993, on me remet une arme, de couleur noir poussiéreuse, un chargeur dans ma poche, on me dépose aux portes des quartiers du nord- northside. Je repère ma cible, un jeune d'environ une quinzaine années. Je m'approche doucement, sans aucune crainte, mon coeur bas, mon souffle s'accélère, je ferme les yeux. Je tire..

Pour la première fois, j'ai tué pour le gang. Je n'ais aucune sensation, aucune réalité de l'acte que je vien de faire, surement étais-je trop jeune pour comprendre ce qui c'était passé.. Je suis tatoué au visage d'une larme sous le coin de l'oeil droit, un tatouage sous le cou, avec comme inscription Surenos. Je suis respecté par des anciens, détester pas d'autres, un vrai merdier, de plus en plus je comprends où j'ai mis les pieds.

LA PRISON

7 août 1999, je fête mes seize ans- je suis devenu quelqu'un de respectable dans les environs, je deal, je sors me renseigner sur les rumeurs qui tourne dans le coin. J'ai à mes actifs, un casier judiciaire bien chargé, je suis considéré comme un "real". Mais il fallait que cela ce passe le jour de mon anniversaire. En véhicule, près de l'ammu-nation je brûle un stop, dérape sur le côté, et continu ma route. J'entends les sirènes de police.. Je n'ais pas mon permis. Je décide de fuir, pourquoi ai-je fais sa ?! Je me pose la question en éssayant de trouver la réponse. Résultat des comptes, arrêté, fouiller, interrogé sur mes activités, je devais récolté d'une peine de trois ans d'emprisonnement. Mais avant ma mise en détention, j'avais fuis le tribunal, pour espérer me faire oublier mais les forces de l'ordres, malin, m'ont retrouvé dans un véhicule volé, arme à la main. Ils étaient heureux, ils laissaient transmettre un petit sourire hypocrite. Je suis mis en détention provisoire pendant quelques jours, en attente de jugement, puis par ordre du juge transmis dans la prison centrale de Pelican Bay.



"Nous avons tout mis en place pour l'arrestation du suspect Maurizio Garcia plus connu sous le nom de Spook résidant dans les quartiers du sud fin août 1999 au niveau de l'après-midi. D'après les preuves, et les fais qui lui sont reprochés je cite : Délit de fuite, possession de drogue, possession d'arme à feu sans permis, vente-achat de produit illicites, violence en bande organisé, proxénétisme aggravé, affiliation à un gang, je juge important de le placer en détention provisoire, en attendant la réponse du juge."

Je me souviens de cette phrase prononcé par l'officier du FBI qui m'avait retrouvé, à cette instant j'aurais pu écourter d'une peine de cinq années de prison, mais j'ai su me défendre sans une fois renier mon affiliation au gang.



Il était un détenu de 16 ans, faisant partit du réseaux criminel des gangs de Californie, les Surenos, qui a eu l'idée de former des latinos pour l'aider dans ses trafiques en guise d'argent. Arrêter le 23 août 1999 par les membres du FBI en tant que membre de gang hispanique activement recherché. Il fut juger coupable de ces actes, et écourta d'une peine de quatre ans d'emprisonnement.

"Maurizio a quitté l'école en neuvième année et, a rejoint un gang de rue à proximité de Playa Seville. Après avoir brièvement travaillé pour son père, il a quitté, a commencé à claquer l'héroïne et en tirant hold-up pour payer son habitude. Il a été arrêté après une enquêtes et fut bientôt attaché à un réseaux de personnes recherchés, en raison de leurs affiliations similaires ainsi que les tatouages ​​distinctifs de Maurizio. Il a plaidé coupable à 21 chefs d'accusation de vol qualifié et a été condamné à trois ans de prison d'État. Jambes enchaînées, les mains menottées et portant une salopette rouge, il a été chargé sur le "Grey Goose" - le bus prison - et enfermé dans ce qui était alors connu sous le nom prison d'État de Californie. Il avait 16 ans.

Peu de temps après son arrivée à Pelican Bay, Maurizio et son compagnon de cellule ont repéré un membre des NBC, northside, un gang extérieur à la prison rival des Surenos, de southside. Ils l'ont frappé sur la tête avec une barre de fer confectionnée. Cette attaque avait été transmis par des membres de southside lors du conversation au parloir.

Un membre de la mafia mexicaine lui envoya quelques cigarettes et une note, pour lui souhaiter la bienvenue. Il aimait le style de Maurizio. Lorsque Maurizio a été transféré dans une autre prison, deux hommes s'approchèrent de lui dans la cour. Ils le passèrent à tabac, avec le temps ils éssayaient de ce rapprocher de la communauté d'hispanique."


LE RESPECT

Je suis menotté, vêtu d'une tenue orange, les regards se fixe sur moi, comme une menace de mort. On me conduit à mon nouveau quartier la céllule 847. Je ne parle plus, je ne mange plus mon visage est affaiblis, fatigué ; passé à tabas par les habitués des lieux je ne sais plus quoi faire.. Je sens la mort s'approcher à grand pas. Je relève ma tête, je décide de sortir. Mon visage rougeâtre de blessure, fait passer un méssage de victime, irrespectable à mon gout. J'éssaye de me greffer à la communauté hispaniques des quartiers sud, la eme. Pour montrer ma réelle personnalité je décide de frapper, un membre d'un gang adverse à leur du déjeuner, je suis fière de mon acte, placer par la suite en isolation pendant une quinzaine de jours, je plonge dans une réflexion sur ma propre personnalité, et sur mon futur dans le quartier. Mes anciens amis, passent me voir de temps en temps, ils me font partagé une vision imaginaire de l'extérieur. Les mois passent le manque d'oxygène se fait sentir, je suis plus aggrésif, je suis comme nouveau. Ces deux années en prison, à la pinta comme il dise dans le coin, m'ont fait grandir, j'ai de nouveau tatouages, un nouveau respect, une nouvelle vie.


19 septembre 2001, j'ai appris ce qui c'était passé, depuis mes dernières images de la prison, l'Amérique est changé un peu comme moi. J'attends près de l'autoroute, mes amis, ce fameux Narco, un homme respecté de south-side. Je le vois arrivé, accomppagné de dix, douzes personnes à s'est côté. J'esquisse un grand sourire tout en le serrant dans mes bras. Il avait compris que je n'étais plus le même, transformé. Que devais t-il se dire ? A vrai dire je ne lui ai jamais posé la question.

Le quartier, le varrio, avait évolué, les personnes étaient de plus en plus nombreux, je ne connaissais pas ses nouvelles têtes, ses nouveaux corps tatoués. Mais il savait qui j'étais. Les petits voulaient me ressemblés, mais quel honte de vouloir être un enfoiré comme moi ! Quelqu'un qui a dérobé la vie à des jeunes d'à peine quinze ans, voler, piller des habitations à l'idée de trouver quoi vendre pour gagner un peu d'argent de poche. C'était même inimaginable. Narco m'avait prévenu, que les problèmes étaient entrain d'arrivé à grand pas au sujet des bandes rivales.- ouais ces fameux "real soldiaz" des côtes de north-side. Ma seule défense était ma maturité, me disais t-il. Je devais enseigné le savoir faire aux nouveaux, les pousser vers la délinquance afin de ramener de quoi régaler les papilles des grands du quartier.

En prison, j'avais tué pour Droompy, un membre respectable des quartiers du sud, un peu fou sur les bords, une sorte d'enfoiré sans coeur en qui j'ai confiance, un jour surement il me tuera pour ce que je fais. Je revois ces images sanglante, violente dans les quartiers B à deux pas de ma céllule. J'ai comme une épée de damoclès au dessus de ma tête, ils veulent tous ma peau. J'éssaye d'oublier cette menace, ce qui importe maintenant c'est que je suis sortit du trou, transformer. Il ne manque plus que deux petits choses, plus d'argent et plus de respect.

13 décembre 2003 il est 20:38, l'heure à laquelle je sors de mon habitation, il fait froid, humide dehors. Sweat noir à capuche sur le corp, bandana bleu sur le cou. J'attends l'arriver de mon conducteur, je regarde ma montre, 20:44, surement en retard. J'aperçois une lumière au fond de l'avenue. C'est lui, accompagner d'une chola de son quartier, il me fait signe de monter. J'agrippe la portière, je rentre doucement. Ils sont déjà armer, j'ouvre la boite à gant je récapitule mon inventaire, arme à feu, chargeur, bandana, capuche tout y est. Mon visage est masqué, nous arrivons dans les quartiers du nord, nous apercevons nos cibles. Nous attendons le top. Il claque des mains, j'ouvre la fenêtre, il continu à rouler, je tire. J'en est touché un. La foule s'écarte, j'entends des cris. Il accélère, la vitre arrière du véhicule éclate, je me couche. Il continu à avancer, nous sommes intacts. Il me dépose rapidement dans le quartier.


En sortant du véhicule, je souris de nervosité, surement excité de ce qui viens ce passé.. Cela fait longtemps que je n'avais utilisé d'arme à feu. Ce n'était pas la même détonation que dans le passé, cette fois je prenais vraiment compte de mon acte. Droompy, ne disais rien fière de son acte, il rentra chez lui me faisant un signe de la main représentant un "S".

LA REFLEXION

Le lendemain matin, je me lève, je me douche, je prends mon café, je sors faire le tour des habitations. Je sens tout à coup une immense douleur dans mon bras gauche, la douleur devient de plus en plus insupportable, je baisse ma tête, je m'étais fais tiré dessus. Je commence à courrir, pour me cacher en tenant ma plait avec mon autre bras. Je sors mon télépone, je compose un numéro. J'appel Many, une des personnes en qui j'ai le plus confiance dans les environs, dès la fin de son appel il était sur les lieux. Il prends mon bandana et me fait un garrot, le sang s'arrête de couler. La balle n'a pas transpercée mon bras, mais la seulement légèrement touchée. La seul personne présente dans le quartier était un semblant respectable membre, un certain Alki- dès la nouvelle, il n'était plus sur les lieux. Il se cachait surement par peurs de représailles, après plusieurs prises d'informations par les petits du varrio il essayait de me duper, de me faire un saleté de coup dans le dos. J'appelle sa un traître, un fils de pute.

Le soir même, bandage au bras, je l'aperçois seul dans l'avenue principale. Je m'approche, puis j’assainis plusieurs violent coup de poing avec mon bras droit. Plusieurs personnes se rapproche, regardent la scène. Je suis pris agressivité, la haine de la prison refait surface. Je sors mon arme à feu, les visages sont posés sur moi, à cette instant je réfléchis encore quelques secondes.. La détente à retentit trois fois, ceçi est mon troisième meurtre.

Les temps changent, les gangs suivent le mouvement, la Mara dans les quartiers de Los Flores est sous les balles des types de Norte au niveau de la 75eme avenue, pour une stupide guerre de térritoire. J'éssaye d'investir mes économies dans ces lieux, mais ils sont toujours là pour foutre la merde. Heureusement que j'ai de l'argent facile grâce aux types qui bossent pour moi, les fédéraux ne m'avait pas gâtés il y a deux ans, ils ont du garder mon argent en guise de pot de vin. Quel bande de naïfs, ils croient vraiment qu'ils vont enculés mon business avec ce genre de plaisanterie. Tout à coup mon téléphone sonne, je décroche. J'entends la voix saccadé de Droompy, angoissé, agacé, je me doutais de quelques choses.. Que c'était t-il passé ? Arrivé au motel, je voyais sur son visage fatigué, une nuit de réfléxion. Il était considéré par certain comme traître, pour quelqu'un filant des informations aux forces de l'ordre, une ombre, un gros problèmes pour southside. J'étais entre deux impasse, aider mon amis, ou obéir au gang. Dans chacun des cas ma tête serait mise à prix.

_________________________________
Nous sommes vingt-cinq années années depuis ma naissance, je deviens quelqu'un d’âgé, je n'ai plus la même mentalité, la même assurance, mais j'ai un énorme respect. J'ai mon propre business, de drogue, prostitution, et armes à feu. Narco, comme moi est toujours vivant, même si il a encaissé quatres-cinq balles depuis ses dernières années. Je suis un représentant de la force bleu, des quartiers du sud de la Californie. Ma vie comme je la raconte aujourd'hui est impressionnante, violente, mais je donnerais tout pour rester ici.



Dernière édition par Maurizio Garcia le Lun 24 Déc - 10:37, édité 6 fois

Maurizio Garcia

Maurizio Garcia

Je finis demain, j'ai écris de minuit à 2h00. Bonne nuit, et bonne lecture !

Ezequiel Majorquez

Ezequiel Majorquez

Vraiment nul tu peux faire mieux... ( Parfait Very Happy )

Maurizio Garcia

Maurizio Garcia

J'en suis qu'au début, Sleep éssayons de finaliser sa dans la nuit

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