Salvador "NARCO" Valenzuela

Salvador Velenzuela fut un jeune de quartier parmi temps d'autres, vétu d'un débardeur noir et d'un short a peine a sa taille, il était dans les rues difficiles de New York, a proximités des gangs actifs telle que Calisfinest et autres Sureños, née d'une mère mexicaine, sans père et fils unique. Il n'avait pas grand chose a vivre, a part la réussite personnelle et l'observations du vécus des autres défilant a sa proximité. Comportement reculé et réservez, il essayait au mieux de chercher la paix intérieur avec lui-même et les intentions mal-saine qui lui a été couramment proposés, jusqu'au jour, ou il fut la victime d'une agression physique au abord d'un arrêt de bus sur une rue du quartier a l'âge de 12 ans.
Trois contre un, seul contre trois, il n'avait pas penser que cela aurait put lui arriver; il ne put paré les coups, coucher contre un muret a proximité il reçu des coups de partout, puis dans une vive allure inattendue, il reçu de l'aide d'individus qui semblaient plus menaçant que ses actuels agresseurs.
Ils portaient des vêtements rapellant clairement les Sureños, de bleu en majorité, allant aux couleurs neutres. Des coups de feu, et des crie de guerre, c'est tout ce dont Salvador compris, vue et entendue.
Couvert d’hématomes, et tremblants comme jamais, ses jeunes le ramassèrent puis, l'amena a la maison du coin le plus rapidement possible. Le lendemain de cette altercation, il fut nourrit d'un petit-déjeuner simple, et vite dégager par un latino âgé qui portait de nombreux tatouages. Celui-ci d'un ton sec et violent, n'hésita pas a gueuler sur les latinos qui s'entravait a sa décisions. Salvador, confus, regarda l'homme, puis le coin de rue ou il fut tabasser avant de ce mettre a serrer les poings, tout en tremblant des jambes. L'individu, rabaissa son regard vers celui-ci, tout en prenant soin de prendre un couteau sur une table ou jouait au dés deux jeunes spectateurs latinos surement membre du même gang que l'homme. Il fixât Salvador droit dans les yeux, tout en le poussant au sol par les épaules, avant de lui balancer le couteau au sol, crachant peu après sur le bitume, ce retournant d'un geste lent. Les hommes a proximités fixèrent le jeune, tout en formant quelques signes de gang, reprenant leurs activités, tendis que Salvador, ramassa ce couteau, ce retournant, puis partait en boitant. Ce fut lors depuis-ce jour qu'il compris que cette rue ne lui feras pas de cadeau si il n'en fais pas sa victime.

Perdue dans ses pensés, Salvador avait grandit tout en devenant plus rude dans le système, il gardât a l'esprit que le quartier n'hésiteras pas a lui mettre des bâtons dans les roues. Il était vêtu d'un grand t-shirt blanc, avec un jogging beige, puis de lunette noir, il passait le claire de son temps a nettoyer son BMX, au même coin de rue ou il avait été agresser, tout en regardant chaque autres rue adjacents en attendant l'impensable. Certains jeunes qui l'avait aider n'hésitait pas a venir le saluer de loin, ce rapellant de lui.
Un après midi, alors que Salvador, rangeait une balle de tennis dans sa roue de son BMX, il vu au loin une voiture dérapé, a toute vitesse de couleur rouge, celle-ci passa rapidement a son niveau avant de ce mettre a ouvert délibérément le feu sur la maison ou il avait été soigner par les membre du gang actif présents. S'en suis une fusillade, démontrant la raza subissant les rafales croissant de balles sur leurs lieu de rassemblement quotidien. Des jeunes qui y étaient poser, sortir leurs armes, sans succès, prenant un aller simple vers leur destiner, tendis que Salvador, ce jetas au sol par peur, prenant par réflexe dans sa poche arrière ce même couteau qui lui avait été céder par l'homme, qui d'ailleurs était sortit avec un UZI ouvrant le feu sur le véhicule, enjambant une barrière fessant office de présentoir a l'entré de la maison. Il visât le véhicule tout en grinçant des dents, celui-ci ouvrit le feu sur l'homme par derrière, eux qui partait au loin rapidement, ils arrivèrent a le toucher, de trois balles qui l'atteignit a la poitrine. Peu après s'en suis des cries de femmes avoisinant les alentours et l'écoute des sirènes d'ambulances au loin s'approchant. Salvador, releva la tête, remplie de peur, tremblant des jambes, fixât la maison avant de lâcher le couteau, tenant par ses deux mains sa tête, l'air de ne pas comprendre ce qui venait de ce passer, du haut de c'est 15 ans, il était perdue, une femme tenait l'homme au sol, et pleurait, sa tête baisser au ras de sa poitrine, elle le secouât d'un geste lent, Salvador voyait la scène impuissant, comme un moment au ralentit, ne savant plus qui aider, quoi croire. Un homme le poussa par l'épaule, tout en accourant vers les jeunes tuer autour de la table, fessant un signe de main vers les alentours en criant rapidement..
Salvador, s'approcha de l'homme et de la femme, qui pleurait a coté de la dépouille de l'homme qui suffoquait dans son sang, qui bougat légèrement ses yeux, et fixat celui-ci, Salvador pleurait, sans savoir pour quel raison, il passât sa main droite sur ses larmes, tout en regardant l'homme, avant de le voir s'en aller pour de bon.
Choqué, et dépourvue de raison valable a se massacre, il ramassa le Uzi au sol, fixant au loin, les ambulances et voiture de police approchant, la femme l'observa légèrement, puis ce remit a pleurer sur le corps de la dépouille, tendis que Salvador, prit la fuite vers son BMX et ce mit a pédaler en direction de la fuite du véhicule mais s’arrêtât au carrefour suivant, tournant la tête dans plusieurs directions, ne savant pas par ou aller.

Salvador a désormais 20 ans, il fit la connaissance de plusieurs individus, qui vivait le même quartier que lui, ils étaient victime eux aussi du massacre qui c'était dérouler, et semblait perdue dans leurs pensées, assis dans les escaliers de la maison de Salvador, tenant dans ses mains deux balles du Uzi qu'il avait récupérer, avant de serrer les poings, puis allas voir sa mère, et lui expliqua en criant, qu'il partait, et qu'il ne reviendrait surement peut être jamais, sa mère prise de cour, s'écroula au sol tout en pleurant ne comprend point ce qui lui arrivait, s’agrippant aux jambes de Salvador, qui la relevas avant de lui faire un bisous sur le front la fixant dans les yeux d'un air froid et sérieux.
Il prit un sac a dos, et ce qui lui était chère, déposant l'arme sur la table a l'intérieur de sa maison, puis fais un signe a ses deux amis, tout en allant en direction de son véhicule qu'il put s'acheter en travaillant dans un car-wash afin d'oubliez tout ceci, ils partirent tout les trois a Los Santos, et fit la rencontre d'un autre ami, avant d'arriver a destination.

Fraîchement arriver a Los Santos, ils trouvèrent le coin paisible, et détendue, mais épuiser du voyage, ils ce gare a proximité de El Corona, regardant les hispaniques portant du bleu sur eux.. Ils ce regardèrent, et descendirent, et prit conscience que ce quartier Sureños pouvait les hébergez.

Voila deux heures que on ce frotte aux yeux froids des chavalos du coins, on restez serrez comme des briques, par peur d'attirez trop l'attention négativement. Mais n’ayant pas peur de voir notre noms aux bouches des autres ont décides d'acceptez cette situation, alors on commence par ce présentez.
Mes carnàls partit tant-tôt a la recherche d'un job, je me retrouve seul avec ma carucha et la seul argent que j'ai prit dans ce quartier de locotes.. Je décide de cacher mon argent sous mon capot, tendis-qu'un chavalo tente une approche, plus-tard j'apprendrais qu'il s'agit d'un chico décorer qui a fais ses preuves dans son barrio, et qui porte un bandana en guise de récompenses. Il finis par dire a ses vatos que j'ai cacher mon argents sous mon capot et voila que je venais de me faire un ennemie, j'ai décider de l'intimider, mais vite rapeller a l'ordre je fit la connaissance de Crùz, celui qui pour moi, dirigeais le varrio.
J'ai compris qu'ils avaient plusieurs vatos qui avaient chacun sont respect, et qui avaient fais des trucs que d'autres n'avaient pas fais.
A suivre..